Sorte : Définition simple et facile du dictionnaire
Content
- Ces Bretons qui envoient des filets de pêche en Ukraine reçus par Zelensky
- Charge nucléaire, impossible à intercepter… Qu’est-ce que le nouveau drone sous-marin Poséidon testé par la Russie ?
- Donald Trump compare la relation entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky au mélange entre «l’huile et le vinaigre»
Les forces russes ont aussi intensifié leurs attaques près de Pokrovsk, dans la région orientale de Donetsk, où des frappes nocturnes ont blessé au moins six personnes. Voici l’assurance donnée par les chefs d’Etat et de gouvernement, dans le communiqué final du sommet du G7 en Italie. L’idée est d’ancrer ce soutien dans la durée à moins de cinq mois des élections américaines et d’une victoire éventuelle de Donald Trump. La première chose évidente, c’est qu’il veut que les pays membres augmentent leurs dépenses en matière de défense.
L’armée ukrainienne a annoncé avoir repoussé les forces russes d’environ deux kilomètres sur une partie du front de Soumy, dans le nord de l’Ukraine. Le président Vladimir Poutine s’est de son côté rendu jeudi “dans l’un des postes de commandement du groupement de troupes Ouest” selon le Kremlin – qui n’a pas précisé si ce poste ce trouvait en Russie ou en Ukraine. Vendredi, Volodymyr Zelensky a repoussé ce plan, assurant qu’il ne “trahira” pas son pays, tout en assurant qu’il ferait d’autres propositions à Washington. Selon lui, ce plan en 28 points, vu avec inquiétude à Kiev, n’a été évoqué entre Moscou et Washington que “dans les grandes lignes”, les Américains ayant demandé aux Russes de “faire certains compromis, de faire preuve de souplesse”.
En Russie
Zelensky sur Telegram, peu après avoir repoussé le plan américain en assurant qu’il ne “trahira” pas son pays. Le président russe menace de conquérir plus de territoires ukrainiens si Kiev refuse le plan américain. Ces crimes de guerres concernent en l’occurrence l’enlèvement, la déportation, le transfert et l’adoption forcés d’enfants ukrainiens. Cependant, afin de protéger les victimes et les témoins, ainsi que l’enquête, elle décide finalement de les publier parce que les crimes sont toujours en cours et que « la sensibilisation du public aux mandats peut contribuer à prévenir la commission de nouveaux crimes ». Selon lui, « le président russe a réussi à élever substantiellement le niveau de vie dans le pays et à rétablir l’État », et il aurait « le mérite historique d’avoir engagé la Russie sur la voie de la stabilité et de la fiabilité en tant que partenaire ».
Ces Bretons qui envoient des filets de pêche en Ukraine reçus par Zelensky
- Les forces russes ont aussi intensifié leurs attaques près de Pokrovsk, dans la région orientale de Donetsk, où des frappes nocturnes ont blessé au moins six personnes.
- N’incluant pas Volodymyr Zelensky, cette rencontre préparatoire doit selon le président américain être le prélude d’une rencontre ultérieure entre Poutine et Zelensky sous la médiation de Trump.
- Annoncée par l’Élysée, la réunion présidée par Emmanuel Macron, Keir Starmer et Friedrich Merz doit porter sur les garanties de sécurité accordées à Kiev dans le cadre d’un éventuel accord de paix.
- Au début de la carrière politique de Poutine, en particulier après son élection à la présidence de la Russie en 2000, Poutine est admiré par une grande partie de la population.
- Lors de son discours du 12 décembre 2013, il cite Lev Goumilev en évoquant son concept de « passionarité » ou « énergie intérieure » du peuple russe, et qualifie le développement de la Sibérie et de l’Extrême-Orient russe de « priorité nationale pour tout le XXIe siècle ».
Jusqu’à présent, les efforts de recrutement interne se sont concentrés sur les minorités ethniques et les populations rurales, attirées par des incitations financières. L’extension de cette stratégie à des mercenaires étrangers reflète une tentative de limiter les répercussions politiques d’un engagement plus large de la population. Il est fort probable que cette situation engendre une crise politique interne en Ukraine, surtout lorsque Donald Trump dévoilera ses intentions en matière d’initiative ou de plan de paix. Jusqu’ici, il a adopté une position ferme, alignée sur le sentiment dominant en Ukraine durant une grande partie du conflit, affirmant qu’aucun compromis sur la souveraineté ou l’intégrité territoriale du pays n’était envisageable. Par conséquent, la capacité de Donald Trump à influencer Volodymyr Zelensky dans terrr cette direction se heurterait à un obstacle politique de taille.
Deux ans plus tard, il fait adopter par référendum la non-limitation des mandats présidentiels dans le temps, ce qui lui permettrait de se maintenir jusqu’en 2036 au pouvoir. En 2023, la Cour pénale internationale émet à son encontre un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et transfert illégal d’enfants ukrainiens. En 2008, la Constitution lui interdisant de concourir pour un troisième mandat consécutif, il soutient la candidature à la présidence de son premier vice-président du gouvernement, Dmitri Medvedev.
Charge nucléaire, impossible à intercepter… Qu’est-ce que le nouveau drone sous-marin Poséidon testé par la Russie ?
Lors d’une longue conversation téléphonique avec Vladimir Poutine, mercredi 12 février, le président Trump a abattu ses cartes. Et pour mieux convaincre le président russe, il est allé au-devant d’un certain nombre de ses exigences. Peu après, l’armée de l’air ukrainienne a indiqué de son côté avoir détruit 14 missiles et 17 drones russes au cours de la nuit. Ironiquement, le méthanier russe géant qui continue d’alimenter l’Europe en GNL et d’enrichir les proches de Poutine s’appelle Christophe-de-Margerie, du nom de l’ancien PDG de Total mort dans un accident d’avion le 20 octobre 2014 à Moscou.
D’autre part, il envoie un corps expéditionnaire combattre dans la guerre civile syrienne, en soutien au régime de Bachar el-Assad. À partir du 31 décembre 1999, à la suite de la démission de Boris Eltsine, il assure les fonctions de président de la fédération de Russie par intérim. Il devient président de plein exercice le 7 mai 2000, après avoir remporté l’élection présidentielle anticipée.
Par le passé, elle jouissait d’une position dominante, attirant des demandes de nombreux pays qu’elle pouvait accepter ou rejeter en échange de concessions. Cela pousse la Russie à faire des concessions qu’elle n’aurait peut-être pas envisagées auparavant, notamment envers des pays comme la Corée du Nord ou l’Iran. L’idée d’intégrer des troupes nord-coréennes s’inscrit donc dans cette logique, en parfaite cohérence avec les décisions prises plus tôt pour sécuriser les ressources nécessaires à la poursuite de la guerre. Le second facteur est d’ordre politique, comme en témoigne la décision de Vladimir Poutine de faire appel à des mercenaires nord-coréens ou plus récemment le recrutement de mercenaires yéménites.
Un culte de la personnalité destiné à montrer Vladimir Poutine comme le modèle du « vrai » homme russe. Le 26 mars 2000, après trois mois d’intérim, l’ancien membre du KGB était officiellement élu président avec près de 53 % des suffrages. Il entamait alors ce qui deviendra l’un des mandats les plus longs de l’histoire russe contemporaine, lui qui va bientôt dépasser les 29 ans de règne de Joseph Staline.
Vladimir Poutine a estimé, vendredi 21 novembre, que le projet proposé par les Etats-Unis peut “servir de base à un règlement définitif” de la guerre en Ukraine. Ces derniers et des personnalités influentes venues de Saint-Pétersbourg (les piterskiïé), ville natale de Poutine (et aussi la plus « européenne » des grandes villes russes), sont dorénavant bien présents dans la politique et l’administration présidentielle. Ensemble, ils forment, écrit Macha Lipman, analyste à la Fondation Carnegie pour la paix internationale, « un système vertical clos ».
Le Premier ministre britannique Boris Johnson et le président des États-Unis Joe Biden qualifient le président russe de « dictateur », condamnant l’offensive russe,,,. Moscou se félicite cependant de « signaux positifs » dans l’avancée des relations russo-américaines, Washington ayant annoncé l’abandon de certaines sanctions contre le gazoduc stratégique Nord Stream 2. En réaction aux remous causés par l’affaire du Russiagate il a estimé que l’ancien directeur du FBI, James Comey, « n’avait fourni aucune preuve que la Russie avait interféré dans les élections américaines » lors de son témoignage au Sénat.